RÉGION : Cannes- Côte d’Azur
AMBIANCE : Mer
STYLE : French Riviera
CATÉGORIE : 4*
CHAMBRES : 50 chambres et suites, 8 appartements et un penthouse
Offert en réservant avec nous
Un lait pour le corps et 1/2 bouteille de champagne
Oubliez tout ce que vous pensiez connaître de Cannes et de ses paillettes hollywoodiennes.
Au bout de la croisette, à quelques minutes de l’iconique palais des Festivals, face aux plages du midi et tout près du Suquet, le plus vieux quartier de la ville, ouvrez grand les yeux et découvrez l’hôtel de luxe Belle Plage, spot 4* bien-nommé avec vue sur la Méditerranée.
Avec sa façade immaculée des années 30, le bâtiment, à nul autre pareil, convoque tout à la fois le style art déco de Miami, les courbes Bahaus de Tel Aviv, la blancheur des Cyclades, et un je-ne-sais-quoi de chic décontracté. Un lieu très French Riviera, terriblement méditerranéen dans l’âme et un rien avant-gardiste
à l’image de son propriétaire, l’entrepreneur Samy Marciano à qui l’on doit déjà l’Hôtel Bachaumont et l’Hôtel National des Arts et Métiers, tous deux basés à Paris.
A L’INTÉRIEUR, PLACE À LA DOUCEUR et à l’apaisement. Du lobby aux 50 chambres et suites avec balcons, le designer Raphaël Navot et les architectes de Faar font la part belle aux matières naturelles et texturées (chêne, lin rayé, cuir, paille, pierres, béton), puisent avec grand art dans l’artisanat d’exception, habillent le tout de blanc, de marbre, de quartz et de béton couleur d’écume. Comme un cocon organique et précieux, le tout se réveille solaire, singulier et très réussi, invitant à se laisser bercer par le mouvement du vent dans les palmiers. Il suffit d’ailleurs de se laisser guider par le délicat parfum de vacances, spécialement créé par Arthur Dupuy, jusqu’au roof top du 8e étage. Pensée comme un « bateau arrimé au ciel », la terrasse y offre une vue spectaculaire sur les toits colorés de la vieille ville, les pinèdes du massif de l’Estérel et les îles de Lérins, Sainte-Marguerite et Saint-Honorat. De là-haut, savourez la lumière, le panorama en cinémathèque, les cocktails shakés derrière le bar cuivré mais aussi la cuisine ensoleillée et conviviale du chef Eyal Shani, grand gourou de la scène gastronomique israélienne.
COMPLÉTEZ L’EXPÉRIENCE, de retour au niveau de la mer, d’une visite dans l’ancienne villa Rocamore, bâtisse de 1874 magnifiquement restaurée devenue la Villa Belle Plage, un temple du bien-être avec spa de 800 m2, parcours d’eau, soins et protocoles well-aging ou détox, méditations guidées, salle de fitness… Comme une oasis cachée dans un luxuriant jardin exotique, la villa abrite un deuxième restaurant tendance végé-healthy. Idéal pour prolonger un peu, beaucoup, passionnément, l’effet régénérant de cette adresse grand large et grandement inspirée.
RESTAURANTS – A la tête du restaurant Bella, le chef Eyal Shani revisite en extra frais les classiques de la cuisine provençale, du Liban et d’Israël : houmous aux crevettes rose et noisettes, carpaccio de poulpe… Une cuisine du partage et de la fête légèrement ajustée lorsqu’elle s’invite dans les jardins de la Villa Belle Plage, dotée d’un deuxième restaurant : The Garden.
ROOFTOP – « Wahou effect » assuré devant le fabuleux panorama du bar en toit-terrasse, ouvert sur l’azur de la Méditerranée et la roche rouge du massif de l’Estérel.
SPA – Espace bien-être de 800 m2, Villa Belle Plage abrite huit cabines de soin holistiques (détox, anti-âge, rééquilibrage, massage Watsu) signés Holidermie, Hydrafacial, Cellcosmet. Également au programme : grotte de sel, parcours d’eau, sauna, hammam, séances de yoga ou méditations guidées.
CULTURE – Imaginé par Coralie Gauthier, une ancienne du Silencio, à Paris, l’agenda culturel de l’hôtel compte concerts classiques ou lyriques, projections de films en plein-air ou performances théâtrales.
APPARTEMENTS PRIVÉS – Les groupes d’amis, les grandes familles et les tribus en quête d’intimité apprécieront de réserver au sein de la résidence, une extension de l’hôtel dotée, sur 5 étages, de 8 appartements et un penthouse aux espaces généreux.
JARDIN – Flânez dans le jardin dessiné par Gwenaëlle Grandjean dans l’esprit des botanistes anglais de la Belle-Époque. Un vrai-faux jardin d’acclimatation planté de philodendrons, palmiers, jasmin, bignone…